Les traductions juives du TaNaKh en français
Cette page présente et répertorie les différentes traductions du TaNaKh (Torah — Nevi’im — Ketouvim) entreprises de manière complète ou partielle par des auteurs juifs français à partir du XIXe siècle. Malgré des méthodes et des ambitions différentes, ces traductions puisent et s’inscrivent pleinement dans les traditions du judaïsme. Ainsi, nous ne considérons pas dans cette page la traduction du Pentateuque publié par Alexandre Weill (Les Cinq livres (mosaïstes) de Moïse, Paris : Sauvaitre, 1890-1891) qui rejette l’héritage du judaïsme rabbinique.
Sommaire
ToggleBibliographie générale sur les traductions juives
- Danielle Delmaire, « Les juifs et la traduction de la Bible en France au 19e siècle », dans D. Delmaire et G. Gobillot (dir.) : Exégèse et critique des textes sacrés, Judaïsme, Christianisme, Islam, hier et aujourd’hui, Paris, Geuthner, 2007, p.75-95.
- David Lemler, « Traductions de la Tora (TaNaKh) » Publictionnaire. Dictionnaire encyclopédique et critique des publics. Mis en ligne le 27 novembre 2020. Dernière modification le 27 août 2021.
Les premières traductions au XIXe siècle
Samuel Cahen (1831-1851) |
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Isidore Cahen et Société israélite (1858) |
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Frédéric Lévi (1856) |
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Alexandre Ben Baruch Créhange (1858) |
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Lazare Wogue (1860-1869) |
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Benjamin Mossé (1879) |
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Rabbinat français dirigé par Zadoc Kahn (1899-1906) |
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Les traductions du XXe – début XXIe siècle
Edmond Fleg (1923-1963) |
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André Chouraqui (1951-1977) |
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Henri Meschonnic (1970-2008) |
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Les traductions contemporaines
David Isaac Haziza (2017) |
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Isabelle Cohen (2017) |
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Vidéos : L’autrice a présenté son travail lors de plusieurs évènements dont : librairie Mollat ; Médiathèque Baron Edmond de Rothschild ; AJCF Paris-Ouest ; Dor Vador ; Qualita ; etc. |